Entité 32

MERK

Etre de Vénus, qui débarqua sur Télos (région de la Lémurie) à la rencontre du peuple de Mû. Il travailla en particulier avec "la Dame du Soleil", en comparant toutes les connaissances de leurs 2 peuples. Il construisit avec elle un monument commémoratif à l'endroit où les premiers vaisseaux avaient atterri. Avant le cataclysme final qui engloutit l'empire de Mû, il repartit avec le vaisseau dans lequel il était venu, emmenant avec lui les terriens qui ne s'étaient pas égarés spirituellement, ceux qui avaient suivi leur Prince Régnant dans l'exode.


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L'HUMBLE "PAUVRE DU NIL"

Appelé par G.H. Williamson "l'épave humaine"...
 Il fut amené de nombreuses fois au temple d'On par Asenath, qui l'y instruisit. Il accomplit des actes très importants pour le bien de l'humanité, notamment en participant à cacher les écrits de Joseph dans le palais d'On.

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HADAD

Hadad était de sang royal. Suite aux guerres menées par David et Joab contre Edom, il s'enfuit de Madiân pour aller à Parân, puis en Egypte, où il devint le protégé du Pharaon Ahmose I.
Il épouse d'ailleurs la soeur de Tahpnès (la femme d'Ahmose I), qui lui donne un fils : Genubat.
A la mort de David, il revendique son droit princier et devient Roi d'Edom, ennemi par la même occasion du roi Salomon.

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MENKHEPERRE-SEHEB

Grand-Prêtre durant le règne de Thutmose III.

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TOUTANKHATON ou TOUTANKHAMON


Dernier fils d'Amenhotep III, qui naquit le 9 décembre de l'an - 1370. Son nom est alors Toutankhaton. 
A 8 ans, il épouse une fillette du même âge que lui, Ankhsenpaaton ; puis, à la mort de Smenkhérê (en - 1360), le mauvais clergé leur font changer de noms : ils doivent devenir Toutankhamon et Ankhsenamun pour monter sur le trône. Toutankhamon allait passer pour une marionnette entre les mains des prêtres d'Amon, mais il allait également accomplir une importante mission : il était un sensitif, un "psychique" qui allait retransmettre les messages de son père et la volonté d'Aton au peuple égyptien. Il aida à la copie et au dépôt des manuscrits d'Aton...
Il eut avec Ankhsenamun 3 enfants, dont deux moururent en bas-âge. La dernière (la cadette Ankhsenpaaton) vécut dans la maison de Maya en se faisant passer pour la fille adoptive de celui-ci pour échapper aux prêtres.
La conduite du Pharaon ne plut finalement pas au clergé d'Amon, puisqu'on décida de l'assassiner et d'effacer son nom des inscriptions chaque fois qu'on le pût.

Toutankhamon aida à la copie et au dépôt des manuscrits d'Aton ; puis, lorsque le but de son incarnation présente fut atteint, il fut décidé qu'il retournerait vers son père Aton.

Au printemps de - 1350, alors que lui, pharaon "Ratut", chassait avec sa femme et son ami Rahotep, il tua un lion et, assoiffé de sa longue course, demanda à ce qu'on lui serve à boire. Parfois, ces parties de chasse avaient également pour but de permettre une rencontre avec des personnages importants, loin de Thèbes et des prêtres d'Amon, et ceux-ci avaient fini par le découvrir. Ils avaient donc décidé ce jour-là d'empoisonner l'eau potable près de la tente de Pharaon. Comble de l'horreur, ce fut son ami Rahotep qui, en toute innocence, lui offrit la mortelle boisson...
Il eut un enterrement somptueux dans la vallée de Thèbes, et sa tombe fut protégée par des jumeaux sorciers, deux jeunes hommes adeptes de la "science mentale", qui descendaient d'une très vieille et très savante race qui existait en Afrique, au début de la civilisation atlante. Ils générèrent des ondes mentales très puissantes, qui dissimulèrent l'entrée de la tombe pendant de nombreux siècles, et qui étaient capables de perturber le mental de toute personne n'appartenant pas à la "Confrérie du Bien" et entrant dans la tombe.

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AARON ( - 1316 à - 1193 )

Frère de Moïse.
Il épousa une soeur de Cippora : une autre des sept filles du prêtre de Madiân (Jethro ou Reuel), puis épousa plus tard Elisheba, qui lui donna pour fils Nadab, ainsi que d'autres fils.
En - 1234, Moïse lui parla de sa mission divine : emmener Israël hors d'Egypte, et lui parla également de sa vision du buisson ardent et du pouvoir du bâton-vril. Etant meilleur orateur que son frère, Aaron accepta de l'accompagner et de l'aider.
Pendant 10 mois, Aaron affronta avec son frère les mauvais prêtres d'Amon. Après leur victoire, il aida Moïse à guider les Hébreux hors d'Egypte.
Lors de la bataille contre les Amalécites, il soutint avec Hur les bras de Moïse (qui tenait en main le bâton-vril) pour permettre la victoire.
C'est lui qui laissa le peuple Hébreu construire le Veau d'Or ; il avait vu que le peuple ne comprenait pas le Plan Divin, même si son Accomplissement avait bien lieu.
A la suite de cet épisode, Aaron fut prêtre d'un culte "simplifié", dont la spiritualité n'était pas aussi haute que celle à laquelle il aspirait. Il utilisa la pierre Shamir (celle employée par Salomon pour construire le Temple) pour tailler les 12 pierres du pectoral du Grand Prêtre (correspondant aux 12 commandements). Ce pectoral contenait aussi l'Urim et le Tummim, grâce auxquels Aaron pouvait rester en contact permanent avec le grand vaisseau qui protégeait Israël. 
Aaron mourut au sommet du Mont Hor.

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EZECHIEL

Il vécut au temps de Joaquim, durant le règne de Nabuchodonosor, entre - 606 et -538. Il fut contemporain de Jérémie et de Daniel.
Ezechiel prophétisa durant 22 ans. Ses prophéties peuvent être divisées en 2 périodes : avant et après la chute de Jérusalem. 
Ezechiel condamne les faux prophètes et veut ramener Israël dans le droit chemin.

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SIMMIAS

Ami de Socrate : il assista à sa mort.
Etudiant de Philolaus (PhilosPhylos). 
Pendant son séjour à Thèbes avec Philolaus, Simmias essaya de découvrir les chambres secrètes de la Grande Pyramide et du Sphinx. Mais cela ne devait pas avoir lieu avant qu'il se réincarne à nouveau, du temps de Jésus Christ.

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ZACHARIE

Un prêtre, marié à Elisabeth. L'ange Gabriel lui apparut et lui dit que sa femme, malgré son âge avancé, aurait un enfant.
Cet enfant deviendra Jean-Baptiste.


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MARC

Marc (Marcus) était le fils de Marie-Madeleine, dont la maison recevait régulièrement les fidèles de Jésus-Christ.
Il grandit donc dans une maison tout imprégnée de spiritualité. Et, bien qu'il n'eût que 12 ans la nuit de la Cène, ayant été élevé dans les meilleures écoles de l'époque, il parlait et écrivait déjà plusieurs langues. 
Il fut profondément marqué par les fidèles qui venaient dans la maison de sa mère, nuit après nuit, pour écouter la parole de Jésus-Christ. Il avait entendu les paroles du Maître s'adressant au seul petit groupe des Apôtres ! Seuls les Douze entendirent en effet l'enseignement le plus important de Jésus-Christ, en dehors de Marie-Madeleine et de son fils Marc. Aussi, il n'est pas étonnant que Marc se soit intéressé, si jeune, à la Parole du Père Infini !

La nuit de la cène, donc, Marc servit les Apôtres et le Christ dans la Chambre Haute de la maison de sa mère. Il observait toute la scène, alors qu'il se tenait au sommet des marches, non loin de la longue et grande table, faite de planches taillées grossièrement. Ce fut lui qui remplit la Coupe de Jésus-Christ, lorsque le Maître demanda à boire.
Puis Jésus et ses Apôtres sortent dans un jardin adjacent à la maison (un domaine du nom de Gethsémani), après que Jésus-Christ ait désigné Judas comme étant celui qui allait le trahir. Pendant ce temps, Marc commença à desservir la table; mais quand il voulut prendre la Coupe, il recula, saisi d'étonnement. Ce n'était qu'une coupe d'argile, usagée et de forme grossière, provenant de la cuisine de sa mère... Mais voici qu'elle était éclairée par une légère luminescence ! Dans la pénombre de la grande pièce, elle brillait faiblement, presque imperceptiblement, mais cependant, d'une manière très visible pour les yeux exercés du jeune garçon. Marc la saisit, l'enveloppa dans son manteau et se rendit directement dans sa chambre.

Il se déshabilla rapidement et se coucha, mais il ne put s'endormir. Il pensait à Jésus-Christ qui était dehors, dans le jardin. Qui était cet homme qu'il avait l'impression de très bien connaître ? Il comprit que toute sa vie future, dans ce monde, serait liée à la vie et à l'oeuvre de Jésus-Christ. Comme le jeune Marc méditait sur la personne du Christ, sur la signification de la Cène et de la promenade dans le jardin de sa mère, il entendit des bruits confus et des éclats de voix. Il sortit rapidement de son lit et, regardant par la fenêtre, il aperçut les soldats romains qui pénétraient dans le vaste bois d'oliviers. Il ne prit pas le temps de s'habiller; s'enveloppant seulement de son drap, il se précipita à l'extérieur, dans les ténèbres, courant à travers bois, vers les torches brandies par les soldats romains qu'il voyait s'approcher de Jésus-Christ.

Ces soldats se dirigèrent doucement vers le Maître, leurs épées en main. L'un taillada le visage de Malchus, serviteur du grand prêtre, et lui trancha l'oreille. Un autre soldat s'approcha de Jésus-Christ et leva son épée pour le frapper. Marc vit cela et se précipita pour détouner le coup. L'épée manqua le Christ mais trancha le pouce de Marc, le marquant ainsi pour la vie. Il fut pour cette raison appelé par la suite le "marqué", à cause de son amour pour Jésus, et de l'amputation du pouce attestant cette dévotion. 

Jésus réprimanda le soldat : "Rengaine ton glaive, car tous ceux qui prennent le glaive périront par le glaive". "Penses-tu donc que je ne puisse faire appel à mon père, qui me fournirait sur-le-champ plus de 12 légions d'anges?" ... Mais tel n'était pas le Plan. Les Onze Apôtres (Judas n'étant pas avec eux) s'enfuirent du jardin, laissant Jésus et Marc aux prises avec les soldats.
"Un jeune homme le (Jésus) suivait, n'ayant pour tout vêtement qu'un drap, et on le saisit; mais lui, lâchant le drap, s'enfuit tout nu" (Marc XIV : 51-52).
La description du "jeune homme nu" ne se trouve que dans l'Evangile de Marc. Et c'est Marc qui rapporte ce qui lui est arrivé dans le jardin, avec le Christ. Pendant un long moment, il marcha à côté de Jésus-Christ et prit Sa main. Il se regardèrent longuement; Marc oublia alors les traits physiques de ce Fils de l'Homme. Ces traits, bien que remarquables, s'évanouirent, et Marc ne fit plus attention qu'à ses yeux... Son regard plongea dans celui de Jésus-Christ, dans Ses yeux ! Ils contenaient une force si prodigieuse, une puissance si terrible que Marc poussa un cri. Il eut l'impression de se dissoudre et d'être emporté à travers la nuit remplie d'étoiles, là-bas... Là-bas, vers des galaxies d'une lumière spirituelle inouïe. Il y avait de la douceur aussi, une douceur pleine de compassion, d'affection; une douceur fraternelle, omnisciente ! Marc ne pouvait détourner ses yeux du Maître. Il avait l'impression d'avoir quitté cette Terre et de contempler le coeur même de Dieu !
Alors les soldats se saisirent de Marc et lui demandèrent qui il était et ce qu'il avait à voir avec cet homme, Jésus-Christ. Il leur échappa, ne laissant que son drap entre leurs mains.

Marc se trouvait sur le Golgotha, lorsque Jésus-Christ fut crucifié.

Le dimanche 9 avril 30, Marc se rend avec Pierre au tombeau de Jésus Christ. Il est un des témoins qui voient le Maître Jésus bien vivant... Le Maître embrasse Marc sur le front, et Marc se rappelle alors qu'il avait été ToutankhamonJésus Christ lui dit que, puisqu'il est maintenant marqué pour la vie, (son pouce tranché par l'épée d'un Romain dans le jardin de sa mère), il portera également pour l'éternité l'empreinte du Disque d'Or du Soleil (Aton) sur son front. Jésus Christ ajoute qu'un jour il dira ces mots à un homme qui ne le connaît pas encore, mais qui viendra pour servir la Cause, après avoir été frappé par une lumière aveuglante (Paul de Tarse). Il poursuit ensuite pour Pierre et pour Marc : "Allez annoncer maintenant la Nouvelle au monde entier ; je suis la Résurrection et la Vie !"
Mais, alors  que Pierre se rend chez Jean et Jacques, Marc reste près du tombeau. Il assiste aux faits et gestes de Pilate et de ses soldats, à leur départ. Il rentre dans le tombeau, et sur une méprise (il était assis à l'endroit où tombait le rayon lumineux), il passe pour "un ange" aux yeux des femmes qui arrivaient et qui ne le reconnurent pas. Il leur annonce la résurrection de Jésus Christ. Les femmes s'en vont, puis Marc quitte le tombeau et se rend à la maison de sa mère.


En 44, Marc part pour Antioche avec Paul et Barnabé. Il emporte avec lui la Coupe, qui resta dans cette ville pendant plusieurs années, et fut considérée comme une précieuse relique par les "Travailleurs" de ce pays. Lorsque les 3 hommes quittèrent Antioche, ils furent guidés par des "anges", comme l'avaient été les Enfants d'Israël quand ils suivaient la "nuée". Ils allèrent d'abord dans l'île de Chypre, qui se trouvait à 80 km de la côte de Syrie. Chypre était l'île natale de Barnabé, et les Chrétiens de ce pays d'origine juive avaient été les premiers à prêcher la Bonne Parole à Antioche. Ils avaient l'intention de poursuivre ensuite leur voyage en Asie Mineure.

Pendant les premiers mois de leur expérience missionnaire, les trois hommes voyagèrent et travaillèrent ensemble dans la communion idéale. De Paphos (sur le versant ouest de Chypre), ils gagnèrent Pergé, en Pamphylie. Là, Marc entend la voix de Jésus Christ lui dire qu'une mission plus importante l'attendait à Jérusalem et à Rome.
Paul ne désirait pas renoncer à Marc, car le jeune homme avait été utile à ses aînés; il veillait à leur approvisionnement quotidien, pendant qu'ils prêchaient et délivraient leur enseignement. Il tenait aussi le journal de voyage, et relatait tout ce qui se passait chaque jour. Comme Paul, il voulait convertir les Païens et apporter la Parole au monde entier.
Paul ne comprit que beaucoup plus tard le choix de Marc, il fut blessé par sa décision (d'ailleurs, il ne lui permit pas de faire le Second Voyage Missionnaire avec lui).
Les 3 hommes se séparèrent; Marc s'en retourna à Jérusalem, et Paul et Barnabé continuèrent en Asie Mineure.

Puis Marc retrouva Pierre à Rome, et lui fut d'un grand secours en le secondant. Il avait en effet une grande instruction, et lui servit de secretaire et de copiste. Marc traduisit les écrits de Pierre en grec et en latin, afin que les "Gentils" (les Païens) puissent recevoir le Verbe, et cela malgré les réticences de Pierre au départ, qui ne voulait pas permettre aux Païens de faire partie de l'Eglise.
Pendant son séjour à Rome, il écrivit son Evangile. Ce fut le premier des 4 à avoir été rédigé.

Marc partait parfois avec un ami, Hermagoras, en mission évangéliste. Sur les côtes nord et est de l'Adriatique, les 2 hommes arrivèrent une fois à Aquiléia, qui était un port maritime florissant et la résidence favorite des empereurs romains. Elle était alors surnommée "la seconde Rome". Pierre nomma Hermagoras Evêque d'Aquiléia. Lorsque Marc quitta ce port, son navire fut pris dans une tempête et poussé vers le sud-ouest, parmi les îles des lagunes. Son navire s'échoua sur l'une d'entre elles, où s'élève de nos jours l'église de San Francesco della Vigna. Là, comme il reposait dans son bateau, attendant la marée montante qui le remettrait à flot, il reçut une vision du Seigneur. Le Christ lui dit : "Pax tibi Marce Evangelista Meus (Que la Paix soit sur toi, Marc, mon Evangéliste) Une grande ville sera bâtie à cet endroit, en ton honneur."
Quatre siècles s'écoulèrent, et la prophétie de Jésus fut partiellement accomplie, lorsque les Goths et les Vandales, puis les Huns conduits par Attila, brûlèrent Aquiléa Alyinium et d'autres villes du continent, forçant ainsi les gens à fuir les îles des lagunes. Et là, ils fondèrent la grande ville de Venise !
Quatre autres siècles passèrent, et la prophétie s'accomplit pleinement, lorsque la ville de Venise fut consacrée à Saint Marc...

Entre 50 et 60, Marc se rend en Egypte, et fonde l'Eglise d'Alexandrie (copte). Il est nommé évêque d'Alexandrie par Pierre, et, pendant son séjour là-bas, il se rend plusieurs fois dans la région voisine de la Grande Pyramide et du Sphinx. Il pénètre dans les salles secrètes, et prend certaines tablettes et certains manuscrits qu'il emporte à Alexandrie. Le moment était venu pour la révélation de ce savoir à ceux qui étaient dans la Lumière et La servaient.

En 67, Marc se trouvait à Rome avec Pierre et Paul, lorsque ces derniers furent martyrisés, le 29 juin. Les différends avec Paul avaient été oubliés, car Paul avait compris l'importance de la mission de Marc.
Marc assiste au supplice de Pierre, crucifié la tête en bas, puis brûlé. Avant de mourir, Pierre lui murmura de retourner à Alexandrie, où leurs frères avaient besoin de lui.

Les prêtres d'Amon apprirent que Marc avait découvert, d'une façon ou d'une autre, certaines des antiques tablettes. Ils ne pouvaient le laisser en divulguer le secret. C'est pourquoi, alors qu'il se trouvait en méditation, il fut un jour jeté hors de l'église et traîné à travers les rues d'Alexandrie. Ce fut cette nuit-là que, dans la prison où il avait été enfermé, le Christ lui apparut et le réconforta. Le lendemain, le 25 avril 70, les exactions de la veille se reproduisirent et l'Evangéliste mourut, rejoignant ainsi son Maître.

Marc est symbolisé par un Lion, car il insiste plus particulièrement sur la Résurrection du Christ (ou la nouvelle naissance), et que, dans son Evangile, il met en avant la dignité royale de Jésus et sa puissance, telle qu'elle se manifeste par sa Résurrection d'entre les Morts. Il commence son Evangile par la mission de Jean-Baptiste. "La voix de celui qui crie dans le désert" est représentée par le Lion, dont le rugissement retentit dans le désert et dans les lieux sauvages. On associe Marc à la Résurrection du Christ.

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SAINT GEORGES

Autour de 303.
Son symbole est une croix rouge.

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GIUSTINIANO PARTECIPAZIO

Doge de Venise. 
En 829, il envoie deux capitaines vénitiens à Alexandrie pour reprendre le corps et les écrits de Marc et les ramener à Venise. Ces 2 hommes s'appelaient Tribunus de Malamocca et Rustious de Torcello. 

Les Mahométans, mais tout particulièrement les adorateurs d'Amon, étaient alors occupés à détruire l'église où Saint Marc était enterré. Les colonnes et les marbres étaient démontés et enlevés pour construire des temples; et le Doge se souvint de la prophétie disnat qu'un jour le nom de Marc serait lié à Venise. Il décida d'envoyer deux capitaines pour prendre le corps et les manuscrits sacrés enterrés avec lui.

Les 2 marins allèrent trouver le prêtre Théodorus et le moine Stauracius qui était le gardien de l'ancienne église. Stauracius emmena les hommes vers la crypte secrète qui contenait le sarcophage de Marc. Le moine savait que les écrits devaient être emportés loin d'Alexandrie, car les prêtres d'Amon recherchaient en vain les Tablettes de Vérité, faisant abattre l'Eglise pierre par pierre.

Stauracius et les 2 capitaines prirent donc le corps et les manuscrits, mais ils ne savaient pas comment emporter le trésor jusqu'au navire vénitien sans attirer l'attention sur eux. Finalement, le moine eut une idée. Ils mirent dans un grand panier le précieux butin qu'ils devaient ramener à Venise, et sur le dessus du panier, ils mirent de la viande de porc... Les officiers de douane, en turbans, se détournèrent avec dégoût et mépris de ce panier qui contenait du porc, de la viande de cochon, animal impur entre tous !

Finalement, le corps fut enveloppé dans une grande voile blanche et hissé pour plus de sûreté jusqu'à la tête du mât. Le bateau, avec ses voiles blanches, était facilement repérable, à cause de la grande croix rouge tracé sur l'une d'entre elles... Les Travailleurs n'gnoraient pas que Marcavait été Georges ; ils utilisèrent ce symbole sur le navire, sachant qu'il serait tout de suite reconnu par tous les "étudiants des mystères" de tous les pays.

Le corps de Marc parvint enfin à Venise, où Jésus lui avait dit qu'une grande ville "serait bâtie en son honneur". Stauracius eut la garde des manuscrits à bord du vaisseau, et à Venise, il fut fait "primacerio" de l'Eglise de Saint Marc. Le doge accomplissait le but de son incarnation présente : il accueillait son ancien corps et ses manuscrits.

Ceux-ci furent déposés, trois ans plus tard, dans les chambres secrètes de la nouvelle Eglise de Saint Marc, construite spécialement pour recevoir ces reliques. Le Doge supervisa toute l'opération et la prophétie fut alors pleinement accomplie. Il trouva un anneau sur le corps de Marc. C'était l'anneau qui avait été passé au doigt de l'Evangéliste lorsque Pierre l'avait nommé Evêque d'Alexandrie. Le Doge, sachant qu'il avait été Marc et qu'il était maintenant de son devoir de protéger les tablettes, prit l'anneau et le passa à son propre doigt...

L'Eglise, commencée en 830, fut achevée en 834. Sous cette Eglise, face à la place Saint Marc, se trouvent encore de nos jours les manuscrits de l'antique Dix-Huitième Dynastie d'Egypte, attendant d'être redécouverts. Et, dominant la Place et l'Eglise, veille le Lion de Saint Marc, symboliquement ailé !


se réincarna plus tard en ...

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